L’investissement secret des milliardaires (enfin accessible) !
4 raisons d’investir dans l*****...
En 2015, un tableau de Picasso s’est vendu 179 millions d’euros.
Le tableau en question ? Les Femmes d’Alger (version O).
Initialement, cette œuvre avait été acquise par un couple de collectionneurs américains pour la somme de 26 000 euros.
Pas mal comme retour sur investissement.
On est quasiment sur du x7000.
Bon, on ne va pas faire du x7000 mais ça donne envie de s’intéresser à l’investissement dans l’art !
Valeur estimée : plusieurs centaines de milliers d’euros.
Non, je n’ai pas craqué mon PEA.
J’ai investi via Matis, une société d’investissement française qui vous permet d’acheter, à plusieurs, des chefs-d’œuvre du XXe siècle, à travers des club deals.
Picasso, Warhol, Soulages…
Des artistes incontournables. Un rendement potentiel intéressant, bien que non garanti. Et surtout, une classe d’actif stratégique qui traverse les crises comme peu d’autres.
Alors pourquoi j’ai décidé d’investir dans l’art ?
Pourquoi ça a du sens en 2025, au moment où les marchés tanguent ?
Et comment ça fonctionne ?
On en parle dans le Deep Dive du jour !
Les chiffres à connaître :
+609% : c’est la performance cumulée de l’indice Artprice 100 (les 100 artistes les plus iconiques) entre 2000 et 20231, contre +160% pour le S&P 500 sur la même période. Attention, ces performances passées ne présagent pas des performances futures. Rappelons également que l’art est un actif non coté qui présente un risque de perte partielle ou totale du capital investi.
57,5 milliards de dollars : c’est la valeur du marché mondial de l’art en 2024, dont plus de la moitié provient de l’art contemporain2.
+27% : c’est la hausse moyenne annuelle du prix des œuvres de Jean-Michel Basquiat depuis 20151.
2 174 milliards de dollars : c’est le montant estimé détenu en art et objets de collection par les grandes fortunes mondiales (5,2% de leur patrimoine total)3.
Pour investir dans l’art facilement, rendez-vous sur Matis en cliquant ici.
4 raisons d’investir dans l’art :
1. Pour la performance (non garantie) :
Sans présager des performances futures, l’art contemporain a surperformé le S&P 500 selon l’indice Artprice 1001 sur les 20 dernières années.
Certaines toiles de Basquiat ou Warhol ont vu leur valeur multipliée par 10 en une décennie.
Une classe d’actifs potentiellement rentable… à condition de bien choisir ses artistes.
2. Pour la diversification et la faible corrélation avec les marchés
L’art n’évolue pas au rythme des marchés boursiers : sa performance est peu corrélée aux actions.
En cas de krach financier, un Picasso ne s’effondre pas comme une tech cotée au Nasdaq.
Cela en fait un actif stabilisateur, complémentaire dans un portefeuille diversifié.
Et une opportunité d’amortir la volatilité des cycles économiques.
3. Pour avoir un rempart contre l’inflation
Comme l’or ou l’immobilier, l’art est une valeur refuge qui conserve son pouvoir d’achat.
En période de forte inflation, les actifs rares ont tendance à prendre de la valeur.
Les collectionneurs considèrent ainsi les œuvres majeures comme des « coffres-forts visuels ».
Investir dans un Soulages, c’est un peu protéger son patrimoine contre l’érosion monétaire.
4. Par passion et transmission : l’art est éternel
Contrairement aux actions, une œuvre d’art procure un plaisir esthétique quotidien.
C’est un actif qui se regarde, se partage, se transmet aux générations futures.
Posséder une pièce unique crée une forme d’intimité émotionnelle avec son investissement.
Et rien n’interdit de conjuguer émotion et opportunité financière.
Comment investir dans l’art facilement ?
Jusqu’à récemment, investir dans l’art, c’était réservé aux initiés.
Il fallait des centaines de milliers d’euros, un carnet d’adresses dans les galeries de New York ou de Bâle, et surtout… du temps, beaucoup de temps.
Tout ça, c’est en train de changer.
Et c’est là qu’intervient Matis.
Une société française qui rend accessible l’investissement dans les grands noms de l’art contemporain, à partir de 20 000 €. C’est ce qu’on appelle un club deal.
Plusieurs investisseurs se regroupent pour acheter une œuvre, comme un Basquiat ou un Warhol, valorisée entre 500 000 et 5 millions d’euros.
Pour chaque œuvre sélectionnée, une société de projet est structurée pour permettre d'investir via la souscription d'obligations convertibles en actions.
Ensuite, l’œuvre est confiée à une galerie renommée, qui est en charge de l'exposer, de la valoriser, et de la revendre dans un horizon cible (non garanti) de 24 mois.
Et à la revente, si tout se passe bien, chaque investisseur récupère sa mise… et sa part de plus-value (sommes non garanties).
Le rendement visé ?2
Entre 12 et 20% par an. Net de frais.
Attention : ce n’est pas garanti, bien sûr. Mais les premiers résultats sont là.
Depuis son lancement commercial en mai 2023, les 10 premières cessions de Matis ont permis à la société d’afficher une performance nette investisseur moyenne3 de 16,5%, pour une durée de détention moyenne de 7,9 mois.
Alors bien sûr, il y a des risques.
Car l’art est un actif non coté, qui présente un risque de perte partielle ou totale du capital investi.
Il peut mettre du temps à se revendre.
Il faut connaître les artistes, les galeries, les réseaux de collectionneurs.
Mais c’est exactement ce que fait l’équipe de Matis pour vous.
Arnaud Dubois, cofondateur de Matis, est un spécialiste reconnu du marché de l’art contemporain. Il a passé dix ans à conseiller des collectionneurs privés.
François Carbone, l’autre cofondateur, était à l’origine de la plateforme Anaxago, une référence dans l’investissement alternatif en France.
Ensemble, ils ont conçu une solution simple, agréée par l’Autorité des Marchés Financiers, avec un objectif clair : rendre l’art aussi investissable qu’un portefeuille d’actions.
Et ça fonctionne.
Depuis sa création en 2023, Matis a levé plusieurs millions d’euros auprès d’investisseurs privés, français et européens.
Ils ont déjà financé une cinquantaine d’œuvres d’art majeures, placées dans des galeries de renom à Paris, Londres ou New York. Des œuvres qui ont une histoire, une cote, une liquidité.
Parce qu’on ne parle pas ici de tableaux achetés à un artiste inconnu dans une galerie du 6e arrondissement de Paris.
On parle d’œuvres “blue chip”. Des signatures comme Soulages, Picasso, Warhol, ou Basquiat.
Et le montage est intelligent. Chaque œuvre est logée dans une société dédiée.
Les investisseurs deviennent co-propriétaires de cette société et reçoivent des obligations convertibles en action.
Ce dispositif permet de réduire l’imposition et de simplifier la revente.
Un modèle inspiré des meilleurs standards du private equity.
Si vous êtes passionné d’art, que vous avez un patrimoine déjà diversifié, et que vous cherchez une nouvelle manière de placer une partie de votre capital, c’est le moment de vous intéresser à cette classe d’actifs.
En période de crise, ce sont souvent les actifs décorrélés des marchés boursiers, comme l’or, l’immobilier ou l’art, qui tirent leur épingle du jeu
Et dans l’art, ce sont les meilleurs noms qui résistent.
Ceux que cible Matis.
Ce que vous devez retenir, c’est que pour la première fois, un acteur français vous permet d’investir de manière structurée, encadrée et accessible dans des œuvres de plusieurs millions.
Vous n’avez plus besoin d’être milliardaire pour posséder une part de Soulages.
Et si la revente se passe bien, vous pouvez en tirer une plus-value (non garantie).
C’est un investissement passion, certes. Mais aussi un placement stratégique.
Si ce sujet vous intéresse, cliquez sur le bouton ci-dessous pour découvrir l’espace d’investissement de Matis.
Vous y trouverez toutes les infos, les œuvres disponibles, les performances passées, les montants minimums, la fiscalité.
Ce marché est passionnant. Il évolue vite. Et il peut devenir, pour vous aussi, une nouvelle manière d’investir dans quelque chose de beau, de durable… et de potentiellement rentable.
Cliquez ici et découvrez comment, vous aussi, vous pouvez investir dans un Picasso.
Bonne fin de semaine !
L’équipe Momentum ⏳