Le plan secret de Trump : vous pouvez en profiter
Le placement qui rapporte 10x plus qu’un Livret A
Bienvenue sur Momentum, la newsletter pour investir et gérer ses finances personnelles ! Aujourd’hui, on parle de :
Ethereum explose à la hausse !
Le plan secret de Trump : comment en profiter ?
Le placement qui rapporte 10x plus qu’un Livret A
Sell in may and Go Away : Bonne ou mauvaise idée ?
USA : Un accord commercial est en vue entre la Chine et les US : les droits de douane US passeront de 145% à 30% pendant 90 jours.
CRYPTO : +40% en une semaine pour l’ether, porté par la mise à jour Pectra. Sa valorisation dépasse Coca-Cola et Alibaba (306 Mds $).
BOURSE : Wall Street explose : +3,5% pour le Nasdaq, porté par le trade deal USA–Chine. Amazon gagne +7%, Nike +6%, Tesla et Apple s’envolent.
PHARMA : Trump annonce une baisse massive des prix des médicaments, entre -30% et -80%, via une executive order sur les prix internationaux.
GOLD : L’or flirte avec les sommets : Goldman Sachs le voit à 4000 $ en 2026. Déjà +65 % en 2 ans.
Le plan secret de Trump : 1000 milliards et un Jet Privé
Encore des deals, toujours des deals, rien que des deals
C’est l’obsession de Donald Trump.
Son ADN. Sa méthode. Son message.
Trump ne dirige pas. Il négocie.
Et ce week-end, le monde entier a pu le constater à nouveau.
En quelques jours à peine, il a enchaîné les accords à une vitesse déconcertante : politiques, économiques, géostratégiques, parfois contradictoires, souvent opaques… mais toujours au service d’un seul objectif :
L’Amérique. Et seulement l’Amérique.
Il signe un accord sur les droits de douane avec le Royaume uni
Relance les discussions commerciales avec la Chine et trouve un accord
Lance une attaque frontale contre l’industrie pharmaceutique
Libère un otage israélo-américain via le Qatar,
Réouvre une ligne directe avec l’Iran sur le nucléaire,
Force Zelensky à accepter une réunion avec la Russie,
Et s’apprête à imposer la paix à Gaza en négociant avec ses ennemis d’hier.
Les rebelles Houthis, le Qatar, l’Iran : voilà ses interlocuteurs.
Pas Israël. Pas l’Union européenne.
Trump ne veut pas la guerre.
Il la méprise. Elle est “bad for business”.
Mais il est prêt à tout pour la paix même à sacrifier ses alliés.
Ce n’est pas juste “America First”. C’est America Only.
Fini le rôle de gendarme du monde.
Fini l’ordre mondial tel qu’on l’a connu depuis 1945.
Fini les arbitrages multilatéraux.
Trump agit seul. Rapide. Brutal. Efficace.
Et si un pays hésite ? Il menace. Il sanctionne. Mais il finit toujours par obtenir un deal.
Mais ce n’est rien à côté de ce qui se joue au Moyen-Orient.
Objectif : 1 000 milliards de dollars
Trump est en déplacement cette semaine :
Arabie saoudite → Qatar → Émirats arabes unis.
Un seul but : ramener 1 000 milliards d’investissements sur le sol américain.
C’est le deal promis par le prince héritier saoudien MBS, qui veut transformer son royaume en plateforme mondiale d’investissement, et s’acheter une influence stratégique durable à Washington.
Citigroup, IBM, BlackRock, ExxonMobil… Tous les PDG sont dans l’avion.
Le message est clair : “le pétrole, les data centers, l’IA… investissez chez nous, et on réinvestit chez vous.”
En bonus ? Un nouvel Air Force One.
Détail croustillant : Trump repartira sans doute avec un nouveau jouet.
Un Boeing 747-8 entièrement personnalisé, flambant neuf, gracieusement offert par la famille royale du Qatar.
Valeur estimée : 400 millions de dollars.
De quoi relancer le débat sur les conflits d’intérêt, les pots-de-vin et les limites de la Constitution.
Mais Trump s’en moque.
Il ne s’embarrasse pas de diplomatie.
Il veut des résultats. Des deals. Et il les enchaîne.
Pourquoi ça compte pour toi ?
Parce que chaque deal Trump réécrit une ligne du monde économique.
Il crée de nouvelles alliances.
Il fracture des blocs entiers.
Et surtout, il redistribue les cartes pour les investisseurs.
Un deal énergétique avec l’Arabie saoudite = un choc sur le pétrole
Un deal commercial avec la Chine = un rebond sur les semi-conducteurs
Un clash avec l’Europe = une sanction sur le luxe ou l’automobile
Et tout cela en 24 heures.
Trump transforme les marchés en un immense tableau de poker géopolitique.
Il bluffe, il relance, il encaisse.
Un monde plus instable… ou plus transparent ?
Ce nouveau monde est plus brutal.
Mais peut-être aussi plus lisible pour ceux qui savent suivre les lignes de force.
Ce n’est plus l’ère des règles.
C’est l’ère des rapports de force.
Et dans cette logique, une chose est certaine :
Ceux qui sauront lire les prochains deals auront un train d’avance sur les marchés.
Le placement qui rapporte 10x plus qu’un Livret A
Le Livret A rapporte à peine 3% par an,
Le CAC 40, c'est 7% par an.
Le S&P 500, autour de 11% par an
Et pendant ce temps là, un placement européen méconnu a fait +25 % / an sur les 10 dernières années.
Et ce n'est pas une crypto !
De quoi on parle ?
Du marché européen du carbone, aussi appelé quotas d’émissions CO2.
Ce système a été mis en place par l’Union Européenne pour forcer les entreprises à réduire leur pollution.
Comment ? En leur imposant un plafond d’émissions, représenté par des quotas.
Une entreprise qui pollue plus que prévu doit acheter des quotas supplémentaires.
Une entreprise qui pollue moins peut revendre ses quotas inutilisés.
Et chaque année, l’Union Européenne réduit le nombre de quotas disponibles.
Résultat ?
Les quotas deviennent plus rares
Leur prix monte
Et toi, tu peux en profiter
Mais c'est maintenant qu'il faut agir :
En 2021, le prix de la tonne de CO₂ était à 37 €.
En 2024, il est monté à 70 €.
Et selon les objectifs climatiques de l'UE, aligné avec l'accord de Paris, il devrait atteindre entre 130 et 150 € en 2030.
C’est simple : la demande reste forte (les entreprises polluent), mais l’offre diminue chaque année.
Un peu comme le nombre de Bitcoins disponibles.
Aujourd'hui, j'ai le partenaire idéal pour en profiter : Homaio.
C’est la première plateforme française qui permet aux particuliers d’investir directement dans les quotas carbone européens.
Le principe :
Tu ouvres un compte gratuitement
Tu investis à partir de 1000 €
Tu profites de l’évolution du prix des quotas dans un marché structuré, régulé et décorrélé des actions
Et tu vises potentiellement des rendements à deux chiffres.
Tu veux profiter d’un actif encore sous-coté ?
Tu veux diversifier ton portefeuille intelligemment ?
Tu veux placer ton argent dans un mécanisme qui fait bouger les lignes ?
En bonus : grâce au code MOMENTUM25 tu as droit à une réduction sur les frais d'entrée et de gestion qui passent à 1% et un minimum de détention qui passe de 6 à 3 mois !
Article rédigé en collaboration commerciale avec Homaio. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Les quotas sont des actifs non cotés qui présentent un risque de perte partielle ou totale du capital investi.
Sell in May and Go Away ? Pas sûr que ce soit une bonne idée cette année.
C’est l’un des adages les plus connus de la finance.
"Sell in May and go away."
Vendez en mai… et allez à la plage.
Ce conseil qui date du 18ème siècle, suggère que les marchés sont plus faibles entre mai et octobre…
Et qu’il vaut mieux revenir en novembre, pour les “6 meilleurs mois de l’année”.
Mais cette stratégie saisonnière tient-elle encore la route en 2025 ?
Spoiler : pas vraiment.
Saisonnalité VS Réalité économique
Historiquement, les statistiques sont là :
Depuis 1950, le S&P 500 progresse en moyenne de 7% entre novembre et avril, contre à peine 2% entre mai et octobre.
D’où l’idée de vendre au printemps, et de revenir quand les feuilles tombent.
Mais cette année, le marché a d’autres préoccupations.
Une guerre commerciale mondiale relancée par Trump,
Une politique monétaire imprévisible,
Une volatilité historique sur les taux et les devises,
Et des risques géopolitiques à chaque coin de carte.
En clair ? Les fondamentaux ont pris le dessus sur les saisons.
Avril a déjà envoyé un signal fort
Normalement, avril est un des mois les plus performants de l’année.
Mais en 2025, le S&P 500 a reculé de -1,1%.
Pourquoi ? Une série d’escalades tarifaires inattendues, combinées à un retour brutal de la volatilité.
Et décembre dernier ? Même scénario : la traditionnelle “Santa Claus Rally” n’a pas eu lieu. Le marché a terminé l’année en recul.
Conclusion : les modèles saisonniers classiques ont été balayés.
Cette année, les vrais moteurs sont ailleurs
Les investisseurs ne vendent plus en mai.
Ils vendent à la moindre rumeur sur un tweet présidentiel.
Ou à l’annonce d’un nouveau droit de douane surprise sur les semi-conducteurs.
La politique économique domine tout.
Et pourtant… le mois de mai pourrait surprendre
À contre-courant, certaines données plaident pour rester investi.
Le Zweig Breadth Thrust (un indicateur ultra-haussier) a été déclenché fin avril : un signal qui précède souvent des gains importants.
En année post-électorale (comme 2025), le mois de mai affiche une performance moyenne de +1,6%. C’est mieux que la moyenne historique !
Sur les 10 dernières années, la période mai-octobre a généré un rendement moyen de +4,6%.
Autrement dit :
“Sell in May” est peut-être devenu un piège à retardement.
Une meilleure stratégie : rester… et pivoter
Ce n’est pas parce que l’été est plus calme qu’il faut tout vendre.
Mieux vaut envisager une rotation sectorielle :
Favorisez les secteurs défensifs (santé, utilities, consommation de base),
Allégez les cycliques exposés aux taux,
Et gardez du cash pour profiter d’éventuelles baisses de marché.
En résumé
“Sell in May” repose sur une vérité statistique… mais de moins en moins pertinente.
En 2025, le marché ne suit pas le calendrier : il suit les tweets de Trump et les hausses de taux.
Mieux vaut construire un portefeuille antifragile que miser sur des proverbes du XVIIIe siècle.
Et si vous vendez en mai, faites-le pour les bonnes raisons, pas parce que "ça s’est toujours fait comme ça".
À la semaine prochaine sur Momentum !
L’équipe Momentum ⏳