Le bitcoin va atteindre 200 000e en mai 2026, voici la preuve...
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+216% en 5 jours grâce à…
La banque qui domine le monde
Un marché à +22 % de croissance par an
Le bitcoin va atteindre 220 000 dollars, voici la preuve
OIL : Le pétrole bondit de +6 % avant de retomber à +2,5 % après les frappes américaines en Iran. On s’attendait à pire.
CRYPTO : BlackRock achète du Bitcoin à tout va ! 1,1 milliards de dollars en 1 semaine suite au conflit entre l’Iran et les US / Israël.
RECORD : L’action Circle explose de +216 % en 5 jours, dont +20 % vendredi après le feu vert du Sénat au GENIUS Act sur les stablecoins. C’est trop…
STARTUP : La pépite Base44, 1 fondateur et 6 mois d’existence, a été rachetée 80 millions de dollars par Wix. Elle permet de créer des apps avec l’IA.
FUN FACT : Le coût d’un lancement d’une fusée SpaceX est de 100 millions de dollars, 30 % de moins qu’Ariane 5. Réutilisable, rentable, imbattable.
La banque qui domine le monde : la Banque Nationale Suisse
La Banque nationale suisse vient de faire ce qu’aucune autre grande banque centrale occidentale n’ose encore faire : ramener ses taux à 0 %.
Une première depuis le Covid. Et un signal fort.
La première du genre
Ce jeudi, la Banque nationale suisse (BNS) a abaissé son taux directeur de 0,25 %, le ramenant à zéro pourcent. Dans un monde encore tétanisé par le spectre de l’inflation, c’est une décision audacieuse.
Mais ce n’est pas un coup de tête. C’est un message.
Un message que la BCE ferait bien d’écouter. Car la BNS a compris quelque chose que d’autres ignorent encore.
Pourquoi la Suisse coupe les taux ?
Deux raisons principales :
L’inflation est sous contrôle. Elle a chuté. Et continue de baisser.
Le franc suisse est trop fort. Valeur refuge par excellence en période de tensions géopolitiques, il s’est apprécié fortement. Résultat : les importations coûtent moins cher, ce qui renforce la désinflation.
Un franc fort, une inflation faible.
La Suisse a donc de la marge de manœuvre pour agir là où d’autres hésitent encore.
Retour vers le négatif ?
La Suisse n’en est pas loin. Les taux d’emprunt à 2 ans sont déjà passés en territoire négatif : -0,10 %. Pas besoin d’attendre la prochaine décision de la BNS.
Le marché anticipe : d’autres baisses vont suivre.
Mais le retour des taux négatifs fait peur. Surtout aux banques et aux épargnants, traumatisés par la décennie précédente.
Petit rappel :
En décembre 2014, la BNS a été la première à plonger sous zéro.
Les taux sont restés négatifs pendant 7 ans, atteignant -0,75 % au plus bas.
Il a fallu l’invasion de l’Ukraine et la flambée des matières premières pour que la tendance se retourne.
Et nous, en zone euro ?
Même scénario, mêmes causes. Et donc, potentiellement, mêmes effets.
L’inflation recule dans toute la zone euro.
L’euro s’est renforcé face au dollar.
Le coût des importations baisse.
La pression sur les prix s’atténue.
Mais il y a un problème : la dette. Les pays les plus endettés — dont la France — redoutent des taux bas qui ne compenseraient plus le risque de leur profil budgétaire.
Vers une baisse, mais plus lente
La BCE finira par suivre. Mais avec du retard, comme souvent. Car entre la rigueur allemande, la dette française et la prudence italienne, chaque décision est un compromis.
La Suisse, elle, avance seule. Elle n’a pas à ménager 20 gouvernements. Et c’est bien ce qui lui permet, encore une fois, de montrer la voie.
Un marché à +22 % de croissance par an
Le marché de l’ameublement professionnel de seconde main explose. Il progresse 3 fois plus vite que le neuf, avec une croissance de 22 % par an en Europe. Une dynamique portée par 3 tendances de fond : l’économie circulaire, la flexibilisation des bureaux… et la pression environnementale.
Et aujourd'hui, tu peux en profiter en investissant dans Enky, la startup qui révolutionne le secteur, via leur campagne de crowdfunding.
Depuis 2020, Enky propose une approche novatrice de l’ameublement en entreprise : du mobilier haut de gamme par abonnement, grâce à un modèle “Furniture as a Service” (FaaS).
Quelques chiffres clés :
5 M€ de mobilier durable mis sur le marché
100 projets réalisés dans toute l’Europe
2,5 M€ levés via leur plateforme participative en 3 mois
Rendement cible pour les investisseurs : 6 à 9 % avec capital garanti
La startup lance une levée de fonds en equity, ouverte aux particuliers, avec un objectif de 1 à 2 M€ pour financer son expansion européenne.
En participant à cette levée, vous investissez :
dans une entreprise rentable dès le premier contrat
dans un actif tangible, adossé à du mobilier physique
avec un objectif de rendement potentiel de x5 sur 5 ans
Et autant vous dire que l'équipe derrière Enky est super ambitieuse :
Les fonds levés serviront à ouvrir deux à trois ateliers de reconditionnement à Paris, Berlin et Londres.
Enky prévoit :
3,5 M€ de CA en 2025
10,3 M€ en 2026
25 M€ en 2027
La croissance est déjà bien enclenchée, avec un modèle éprouvé, des clients B2B récurrents, et un marché qui répond présent.
Pour les investisseurs particuliers, c’est l’occasion de soutenir un projet utile, bien structuré, et potentiellement très rentable.
L’investissement est éligible au PEA, et peut donc s’intégrer dans une stratégie d’optimisation fiscale.
Pour investir avec eux cliquez ici.
Pourquoi le modèle Enky mérite qu’on s’y intéresse ?
1. Le timing est parfait
Avec l’essor du coworking, du flex-office et des contraintes ESG, les entreprises cherchent des solutions agiles et responsables. Enky leur offre un mobilier flexible, durable et haut de gamme, sans immobiliser leur trésorerie.
2. Le modèle “meuble = actif rentable” est puissant
Enky transforme le mobilier en source de revenu régulier, comme une foncière transforme un immeuble en flux locatif. Le contrat d’abonnement sécurise le rendement. Et la valeur résiduelle du mobilier couvre le capital investi. C’est un système d’amortissement intelligent.
3. Une vraie barrière à l’entrée
Leur capacité à reconditionner eux-mêmes le mobilier est une arme stratégique : elle réduit leur dépendance aux fournisseurs, améliore leurs marges, et leur permet de maîtriser la qualité. Peu de concurrents peuvent s’aligner.
Avertissement : Ce contenu est rédigé en collaboration commerciale avec Enky. Comme toujours, faites vos propres recherches. L’investissement en startup présente un risque élevé de perte en capital, y compris la perte totale. Les rendements passés ou cibles ne préjugent pas des performances futures.
Le bitcoin va atteindre 220 000 dollars, voici la preuve
Alors que le Bitcoin évolue dans un climat de plus en plus euphorique, comment bien anticiper le sommet du cycle ?
La plupart des investisseurs sortent trop tôt… ou redescendent avec le marché faute d’avoir perçu le retournement.
Mais il existe peut-être un outil aussi simple que redoutablement efficace.
Le socle du Bitcoin
La moyenne mobile sur 200 semaines (200WMA) est l’un des indicateurs techniques les plus respectés de l’analyse technique.
Elle lisse les fluctuations en calculant le prix moyen de clôture sur les 200 dernières bougies hebdomadaires, révélant ainsi la tendance de fond.
Historiquement, cette moyenne mobile a joué un rôle de support clé en période de marché baissier, servant de plancher en 2015, 2018 et 2022.
Lors du creux de 2022, le prix du Bitcoin est brièvement passé sous cette moyenne…
Mais dès qu’il l’a reconquise, la dynamique haussière s’est relancée.
Aujourd’hui, avec un prix largement au-dessus de cette moyenne, de plus en plus d’analystes observent la vitesse à laquelle la 200WMA remonte.
C’est un signal avancé potentiel de sommet de cycle.
Si la 200WMA donne le ton à long terme, analyser son taux de croissance apporte une lecture supplémentaire.
En mesurant l’évolution mensuelle de cette moyenne mobile, on peut créer une carte thermique qui révèle les zones de risque.
Historiquement :
Quand la 200WMA progressait entre 14 % et 16 % annualisés (zones orange/rouge),
le Bitcoin approchait souvent d’un sommet de cycle.Depuis que le marché a mûri, ces extrêmes sont devenus plus rares.
Dans le cycle actuel, la croissance de la 200WMA est limitée à 5–6 % annualisés (zones bleues/turquoises). Cela suggère que, malgré la hausse, le marché n’est pas encore dans une phase parabolique.
Un schéma caché mais récurrent
Au-delà des heatmaps, un phénomène beaucoup plus discret attire l’attention :
à chaque fois que la 200WMA dépasse son ancien sommet historique,
le Bitcoin atteint ou frôle un sommet de cycle.
Ce pattern s’est répété à plusieurs reprises. Difficile de croire à une simple coïncidence. Ce signal mérite d’être suivi de très près, surtout à mesure que le cycle mûrit.
Actuellement, l’ancien record de la 200WMA est situé autour de 69 000 $, comme le sommet de 2021. En extrapolant la pente actuelle, ce franchissement pourrait survenir vers mai ou juin 2026.
Cela marquerait un allongement net du cycle par rapport aux sommets de 2017 et 2021. Et ce serait la première rupture majeure avec le rythme historique des cycles de halving (4 ans).
Des sommets de plus en plus raisonnables
Pour affiner cette projection, on peut ajouter le Mayer Multiple : c’est le rapport entre le prix du Bitcoin et sa moyenne 200WMA.
En 2013 : le Bitcoin a culminé à 15 fois sa 200WMA.
En 2021 : il n’a atteint que 6 fois.
La tendance est donc à la baisse des multiples, à mesure que le marché gagne en maturité.
En traçant cette tendance, on obtient un multiple prévisible de 3,2x pour ce cycle.
Appliqué à une 200WMA qui pourrait atteindre 70 000 $ en 2026, cela donne un pic théorique à environ 220 000 $.
Est-ce crédible ?
Un Bitcoin à 220 000 $ peut sembler ambitieux. Mais il est beaucoup plus réaliste que les prévisions extravagantes à 500 000 $ ou 1 million $ vues ici ou là.
Un tel niveau demanderait des entrées de capitaux colossales, difficiles à atteindre en 12 ou 24 mois — sauf rupture majeure (adoption par un État, réserve globale, etc.).
Mais une cible autour de 200 000 $ reste compatible avec :
La croissance naturelle du réseau
La structure de marché actuelle
Et une montée en puissance des flux institutionnels
Conclusion
La moyenne mobile sur 200 semaines reste l’indicateur long terme le plus fiable du Bitcoin.
Non seulement elle joue un rôle de plancher en bear market,
mais elle pourrait aussi signaler le top des cycles lorsqu’elle dépasse ses précédents sommets.
En s’appuyant sur ces métriques de tendance, on peut construire une vision probabiliste et rationnelle.
Et éviter de tomber dans le piège des prévisions trop émotives.
Si la trajectoire actuelle se maintient, le pic de ce cycle pourrait survenir autour de mi-2026, vers les 220 000 $. Un scénario à la fois crédible… et potentiellement historique.
À la semaine prochaine sur Momentum !
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