Etes-vous riches ou pauvres ? Le calcul...
C’est le bon moment pour emprunter selon la banque de France
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+150% en 1 mois pour cette action IA
C’est le bon moment pour emprunter ?!
Mon investissement préféré (j'en achète depuis 10 ans)
Etes-vous riches ou pauvres ? Le calcul…
RECORD : L’action Applied Digital a explosé de +150 % en 1 mois. En cause : un accord avec CoreWeave, star de l’IA, pour la location de ses data centers.
GOLD : Le prix de l’or reste proche de ses plus hauts historiques : les investisseurs sont prudents face aux incertitudes géopolitiques (profitez en ici).
ETH : BlackRock achète massivement de l’Ethereum depuis 10 jours (492 millions de dollars). Est-ce que c’est le début de la hausse ?
CRYPTO : La star des cryptos, c’est l’action Circle : +275 % depuis son IPO. L’émetteur de l’USDC est désormais au centre de toutes les attentions.
FUN FACT : Si la France avait le même taux d’emploi que l’Allemagne, la richesse nationale grimperait de +7,7 %. Et l’État empocherait 100 milliards d’euros de recettes fiscales en plus.
Taux d’emploi = Le taux d’emploi est un indicateur économique qui mesure la proportion de la population en âge de travailler qui occupe effectivement un emploi.
C’est le bon moment pour emprunter ?!
C’est ce qu’a annoncé le gouverneur de la Banque de France… Il faut selon lui oublier l’idée de taux à moins de 2 % et profiter des taux à 3 % (et de l’inflation sous contrôle).
Mais derrière cette bonne nouvelle se cache une réalité plus inquiétante : la France est confrontée à une dette publique massive et à des dépenses trop élevées. Faut-il vraiment sauter sur l’occasion… ou garder la tête froide ?
Voici les révélations de François Villeroy de Galhau, le gouverneur de la Banque de France.
Ce qu’il faut retenir :
Les taux des crédits immobiliers sont en baisse continue : 3,13 % en avril, contre 4,2 % en début d’année.
La moyenne actuelle (3,1%) est inférieure à la moyenne historique (3,5%) depuis 2000.
Grâce à l’euro, les ménages français empruntent à bien meilleur taux qu’en Grande-Bretagne (4,5%) ou aux États-Unis (6%).
La production de crédits immobiliers progresse : 12,6 milliards d’euros en avril, un niveau supérieur à la moyenne des 10 dernières années.
Pas de retour aux taux ultra-bas d’avant 2022 (autour de 1,5 %), prévient François Villeroy de Galhau.
L’inflation est maîtrisée en France (sous 1 %) et en Europe (1,9 %), mais les prix ne redescendront pas pour autant.
Le vrai problème ? Une dette publique explosive et des dépenses record (les plus élevées au monde selon le gouverneur).
Il appelle à une stabilisation urgente des dépenses publiques, notamment du système social qui pèse 9 % du PIB.
Selon lui, la France a gagné la bataille contre l’inflation, mais pas celle de la dette… et ça pourrait nous coûter cher à long terme.
Affaire à suivre.
Mon investissement préféré (j'en achète depuis plus de 10 ans)
Depuis 10 ans, j'achète régulièrement de l'or.
Pendant très longtemps, je passais pour un survivaliste auprès de mes proches.
Et ça allait à l'encontre de ce que prêchait mon "mentor" : Warren Buffett.
Mais 2025 et l'instabilité ambiante m'a donné raison.
+28% depuis le début de l'année (source).
Et c'est loin d'être fini.
Car nous entrons dans une période d'instabilité totale. Du jamais vu depuis la deuxième guerre mondiale.
Trump n'est pas prêt de calmer le jeu.
La géopolitique mondiale est explosive, de Taïwan à l’Iran.
Et les banques centrales accumulent l’or comme jamais.
On assiste à un phénomène que peu de gens perçoivent :
L’or est en train de redevenir une monnaie.
Une monnaie de repli. Une réserve de confiance.
L’or n’est pas là pour vous enrichir.
Il est là pour vous protéger.
C’est un actif anti-panique.
Quand les marchés plongent, quand les devises vacillent, quand les obligations ne rapportent plus rien…
L’or reste debout.
Ce n’est pas un actif magique, ni une martingale.
Mais dans un portefeuille bien construit, il peut jouer un rôle clé :
Amortir les chocs. Diversifier le risque. Résister à l’instabilité monétaire
Ray Dalio, l’un des investisseurs les plus respectés au monde, en détient 15 % dans son portefeuille “All Weather”.
Et maintenant, le plus intéressant :
Il n’est plus nécessaire d’acheter des lingots, ni de louer un coffre.
Vous pouvez désormais investir dans l’or... depuis votre assurance-vie.
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C’est peut-être le moment de remettre un peu d’or… dans vos placements.
Avertissement : Investir comporte des risques de perte en capital. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.
Mon Petit Placement, SAS située au 59 rue de l’Abondance, 69003 Lyon, immatriculée au RCS de Lyon sous le n°831051453, est un intermédiaire en assurance, banque et finance, membre de l’Anacofi-courtage, immatriculée à l’ORIAS n°17005501 en qualité de Courtier d’assurance ou de réassurance (COA) et Courtier en opération bancaire et service de paiement (COBSP). Offre soumise à conditions. Article rédigé en collaboration commerciale avec Mon Petit Placement.
Etes-vous riches ou pauvres ?
Le seuil de richesse en France vient tout juste d'être mis à jour à 4056€ net mensuels.
La classe moyenne entre 1608 et 2941€
La classe aisée entre 2941€ et 4056€
Mais d’où vient la richesse d’un pays ?
La réponse simple : heures × productivité = richesse
Plus vos salariés travaillent longtemps ET sont productifs, plus votre chiffre d’affaires grimpe.
Jusqu’à récemment, la France s’en sortait plutôt bien.
Malgré un temps de travail plus faible que ses voisins, elle compensait grâce à une productivité exceptionnelle.
Une sorte de Ferrari qui roule peu, mais vite.
Mais ce modèle est en train de craquer.
Moins d’heures. Moins de richesse.
1 487 heures/an travaillées en moyenne en France.
Contre 1 558 heures dans la zone euro.
1 638 heures en Espagne.
1 701 heures en Italie.
La conséquence ?
128,5 milliards d’euros de valeur ajoutée perdus en 2023.
Un manque à gagner colossal, tous secteurs confondus.
La productivité française en recul
La productivité reste excellente sur le papier :
49 €/h de valeur ajoutée dans le secteur marchand (contre 43 €/h en zone euro).
42 €/h dans le non-marchand (contre 35 €/h ailleurs en Europe).
Mais le problème, c’est la dynamique :
En 2019, on atteignait 60,6 €/h.
Fin 2024 ? 59,9 €/h.
Une chute qui semble minime, mais qui traduit un glissement structurel inquiétant.
Pourquoi cette baisse ?
Explosion des arrêts maladie.
Télétravail mal optimisé.
Effondrement de l’investissement post-Covid.
La baisse massive de l’investissement est bien entendu liée au manque d’attractivité de France où les marges des entreprises sont plus faibles que chez nos voisins européens.
Un potentiel de richesse énorme… mais inexploité
Selon l’économiste Gilbert Cette, si la France avait le même taux d’emploi que l’Allemagne,
→ la richesse nationale grimperait de +7,7 %
→ les recettes publiques augmenteraient de 100 milliards d’euros par an
(Soit deux fois l'effort budgétaire visé par l'État en 2026)
Mais qui ne travaille pas assez, vraiment ?
Il ne s’agit pas de pointer du doigt les salariés.
En moyenne, les Français en emploi travaillent autant que les Allemands ou les Britanniques : 1 626 heures par an.
Le vrai problème ? Le chômage structurel chez les jeunes et les seniors :
Les jeunes peu diplômés ont un taux d’emploi inférieur de 15 points à celui des Allemands.
Les plus diplômés mettent 1 à 2 ans de plus à s’insérer.
Chez les 55-74 ans, seuls 36 % ont un emploi, contre 48 % en Allemagne.
Et il y a pire :
L’effondrement de l’emploi des peu qualifiés.
En 30 ans, le nombre d’heures travaillées par cette population a chuté de 40 %.
Le vrai défi : remettre la France au travail
Le Premier ministre Bayrou l’a dit sans détour : "Notre pays ne travaille pas assez."
Mais la réponse n’est pas de "travailler plus" au sens brutal.
C’est de remettre dans le jeu les 15-24 ans, les seniors, les peu qualifiés, et de réconcilier la France avec la production.
Dans un pays où l’on débat encore du passage aux 32 heures, ce rappel a de quoi faire grincer des dents.
Et pourtant…
C’est peut-être la clé de notre redressement économique.
Mais ce redressement économique ne sera pleinement réalisable qu’à une condition supplémentaire : il faut réduire les dépenses de l’État.
C’est la seule solution pour alléger les charges des entreprises. Avec des marges plus élevées, celles-ci pourraient investir et embaucher davantage, notamment les jeunes, seniors et peu qualifiés, libérant ainsi le potentiel économique de la France.
N’oublions jamais que la richesse d’un pays repose sur son secteur privé, moteur de la création d’emplois et des recettes publiques. Un État trop dépensier étouffe les entreprises, freinant leur capacité à embaucher et à dynamiser l’économie.
À la semaine prochaine sur Momentum !
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