Bitcoin : l'indicateur secret qui annonce +76% en 20**
L’impact économique de la guerre : la clé du conflit
Bienvenue sur Momentum, la newsletter pour investir et gérer ses finances personnelles ! Aujourd’hui, on parle de :
+24 % pour Oracle en 1 semaine !
Le Bitcoin est encore loin de son sommet
Plus rentable et moins volatile que la Bourse
L’impact économique de la guerre : la clé du conflit
RECORD : Oracle prend +24 % en 1 semaine, sa meilleure performance depuis 2001. Merci le cloud… et surtout l’IA. Pas de ralentissement à l’horizon.
FRANCE : Luca de Meo quitte Renault pour devenir DG de Kering. Bilan solide chez Renault. L’impact en bourse ? -8 % pour Renault, +12 % pour Kering.
MONDE : L’inflation chute à 0,5 % en mai en Argentine, du jamais-vu depuis le Covid. Milei semble avoir vaincu l’hyperinflation (200 % en 2023).
BITCOIN : 3e tentative pour franchir les 110 000 $. Les tensions au Moyen-Orient n’ont pas fait chuter le BTC (contrairement au début de la guerre en Ukraine).
BOURSE : Le conflit entre Israël et l’Iran continue, mais Wall Street reste calme. On en parle plus bas.
Le graphique du jour : Le Bitcoin est encore loin de son sommet
Est-ce que tu connais le Puell Multiple ?
C’est un indicateur qui mesure les revenus quotidiens des mineurs de bitcoin (en dollars) par rapport à leur moyenne annuelle.
S’il est haut (> 3,5), le marché est en surchauffe : signal de sommet potentiel.
S’il est bas (< 0,5), les mineurs souffrent : BTC souvent sous-évalué, bon moment pour acheter.
Actuellement, le multiple est à 1,33 : on est en phase haussière, mais encore loin d’un pic de cycle.
Comment l’utiliser ? Les traders l’utilisent comme indicateur contrarien : vendre quand il est très haut, acheter quand il est très bas.
Conclusion : les mineurs gagnent mieux, mais le vrai sommet semble encore loin.
Plus rentable et moins volatile que la Bourse : le placement qui révolutionne son secteur
En ce moment, je touche des loyers.
Pas grâce à l'immobilier... Mais grâce à Natixis, BPCE ou Sodexo.
Car je leur loue des meubles pour leur bureau grâce à Enky.
Voici 2 raisons pour laquelle j'investis via Enky :
1. Le potentiel de marché
Depuis la pandémie, le bureau a changé de visage.
Flex-office, télétravail, espaces hybrides : les entreprises ne veulent plus acheter, elles veulent louer, adapter, ajuster.
C’est là qu’Enky intervient : elle fournit du mobilier flexible, reconditionné ou neuf, en location mensuelle.
Et la demande explose.
2. Un modèle économique solide
Ce qui m’a surtout intéressé, c’est le modèle d’investissement.
Enky achète du mobilier (tables, bureaux, chaises, etc.) pour ses clients.
Les entreprises signent des contrats de location de 12 à 48 mois.
Et vous pouvez co-financer ce mobilier, à partir de 500 €, et percevoir une part des loyers.
Le rendement ? Entre 7 et 9 % par an, versé chaque mois.
Ce n’est pas un fonds opaque ni un produit spéculatif.
C’est du mobilier physique, placé chez des entreprises bien réelles.
Et vous touchez une partie de la location, comme un propriétaire toucherait un loyer.
Enky, c'est un peu de l'immobilier, mais sans les murs
Enky a réinventé une logique familière aux investisseurs immobiliers :
Des actifs tangibles
Des revenus prévisibles (loyers)
Et une valeur de revente en cas de défaut
Mais appliquée à un nouveau terrain : l’économie circulaire, l’usage plutôt que la propriété.
Un peu comme si vous investissiez dans une foncière, mais spécialisé dans les bureaux… et moins volatile.
En résumé, Enky c'est :
Des revenus mensuels, sans gestion
Des rendements solides (jusqu’à 9 %)
Un actif physique, décorrélé des marchés
Une opportunité de diversifier intelligemment son portefeuille
Et en ce moment, vous pouvez bénéficier d’un bonus de 100€ offerts pour 500€ investis.
Avertissement : L’investissement présente un risque de perte en capital. Ne jamais investir plus que ce que vous êtes prêt à perdre. Ceci n’est pas un conseil personnalisé. Article réalisé en collaboration avec Enky.
Conflit Iran – Israël : le choc que personne n’attendait (vraiment)
Ce n’est plus une escarmouche.
Ce n’est plus un raid ciblé.
C’est une guerre. Une vraie.
Israël a frappé l’Iran. En plein cœur.
Trois généraux éliminés. Six ingénieurs nucléaires tués. Plusieurs installations d’enrichissement d’uranium détruites.
Objectif affiché : stopper (ou retarder) la bombe nucléaire iranienne. L’Iran est à deux doigts d’obtenir l’arme nucléaire – l’AIEA parle de 275 kg d’uranium enrichi à 60 %, 90 % suffisent pour une bombe.
Mais derrière cette opération chirurgicale… c’est une guerre existentielle qui s’est ouverte.
Et cette guerre pourrait durer
Israël a d’abord éliminé les proxies : Gaza, Liban, Syrie.
Puis a profité du fait que la Russie – autre alliée de l’Iran – est occupée en Ukraine. Maintenant, c’est le cœur du régime iranien qui est visé.
Mais les représailles sont déjà en cours.
L’Iran a riposté : plusieurs attaques contre Israël, une dizaine de morts.
Et ce n’est qu’un début.
Et les États-Unis ?
Trump reste, pour l’instant, en retrait.
Il a promis une riposte seulement si des intérêts américains étaient touchés.
Mais si l’Iran devait s’attaquer au détroit d’Ormuz… l’intervention américaine deviendrait inévitable.
Pourquoi Ormuz est clé ?
Parce que 20 % du pétrole mondial et 25 % du gaz naturel liquéfié y transitent.
Fermez ce passage… et vous étouffez une bonne partie de l’économie mondiale.
Le pétrole iranien, c’est déjà 3 % de l’offre mondiale (3,26 millions de barils/jour).
Un blocus aurait des conséquences immédiates : choc pétrolier, flambée des prix, retour de l’inflation.
Et maintenant ?
Le pétrole a déjà bondi de +11,75 % en cinq jours.
Les analystes évoquent un baril à 120 dollars si l’Iran bloque les navires.
L’inflation pourrait repartir. Vite.
Mais les marchés, eux, ne paniquent pas.
Les bourses restent stables. La volatilité est sous contrôle.
Les investisseurs parient sur un conflit contenu.
Ont-ils raison ? Peut-être.
Car l’Iran n’a pas vraiment les moyens de bloquer le détroit.
Et surtout, une fermeture pénaliserait d’abord… l’Iran elle-même, et la Chine (qui achète 95 % de son pétrole).
Bref : personne n’a intérêt à ce que ça dérape.
Ce qu’il faut surveiller :
Si Trump change de ton (et envoie les Marines)
Si le pétrole franchit les 120 $
Si les marchés cessent de croire à une issue rapide
Et si l’Iran choisit de négocier… ou d’accélérer son programme nucléaire
L’histoire s’écrit en ce moment.
À la semaine prochaine sur Momentum !
L’équipe Momentum ⏳